La Cgt Energie 43 dénonce et condamne les actes de vandalisme perpétrés sur le Puy en Velay (et partout en France), ce samedi 1er décembre.
Nous faisons la différence entre « le ras le bol » de la majorité des gilets jaunes qui sont contre la violence des mesures gouvernementales et une bande de casseurs.
La ligne de conduite de la Cgt ENERGIE 43 n’a jamais été celle de l’activisme et de la casse.
Nous appelons à la convergence des luttes, dans le cadre républicain, pour nos revendications. Nous nous opposons et continuerons à nous opposer à toutes formes de violence.
Nous sommes une organisation syndicale constructive qui propose des solutions aux problèmes des salarié-e-s, retraite-e-s, veufs et veuves.
Les employeurs aidés par le Pouvoir Public et ses mesures (loi El Komry, loi Macron) réduisent nos droits syndicaux qui permettent la défense des droits des salarié-e-s ; qu’en sera-t-il demain quand les salarié-e-s ne seront livré-e-s qu’à eux-mêmes ?
Toutes les violences sont condamnables. Y compris celles qui mènent à l’explosion de la précarité énergétique pour les français (en 2008, un million deux cent mille français ne peuvent plus se chauffer, en 2018 onze millions cinq cent mille français sont dans cette situation).
La violence des actes de ces derniers jours est condamnable, qu’en est-il de celle faite par ce gouvernement et nos employeurs ?
Depuis la casse du service public, la Cgt Energie 43 dénonce le prix des énergies qui augmente alors que les moyens humains et les investissements diminuent comme le droit syndical. La Cgt revendique un service public nationalisé des énergies aux services de la nation.
Si vous souhaitez être acteur de ce projet, nous vous invitons à vous syndiquer à la Cgt Energie 43.
Voir L'expression de l'UD CGT du 3 Décembre 2018.
Voir Le communiqué du Syndicat CGT Energie 43 adressé à tous le personnel.