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Coffre fort numérique et Bulletin de paie électronique

Tous les salariés d’ENEDIS et GRDF vont recevoir avec leur bulletin de salaire du mois de décembre une information sur la dématérialisation des bulletins de salaire.

du document papier, l’économie substantielle faite par les 2 entreprises (0,30€ par bulletin de paie émis), l’acc dans ce coffre fort pour ceux qui maitrisent bien INTERNET, il reste encore des questions sans réponse précise.

  • Quelle véritable garantie existe documents ?
  • Comment ce système évoluera-t-il dans 15, 20 ou 30 ans, et comment l’entreprise garantit-elle la pérennité de l’archivage ?
  • Comment font les agents qui n’ont pas, et il y en a encore, d’adresse internet personnelle et sont réticents à utiliser l’ordinateur à la maison ?
  • La loi prévoit que l’entreprise qui opte pour la dématérialisation de ce type de document doit recevoir l’accord explicite de l’agent. Qu’en est-il précisément ?
  • Pourquoi les IRP locales n’ont pas eu d’informations préalables à ce changement ?
  • Que devient l’accès au coffret fort numérique en cas de changement d’employeur, de départ en inactivité, de changement de prestataire ?
Nous invitons les salariés à poser toutes ces questions à leurs managers. Il serait grand temps que l’em information un peu plus poussée de cette nouvelle pratique.

Ne vous précipitez pas, prenez le temps de la réflexion, en aucun cas l’utilisation du coffre fort électronique est obligatoire, vous avez le choix de continuer à recevoir votre bulletin de paie par courrier à votre domicile.

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Compte rendu CA CMCAS Clermont - Le Puy
Lundi 12 décembre 2016

Pour la 1ere fois depuis l’existence des Activités Sociales, la baisse de la dotation du 1% est telle qu’il y a impossibilité de satisfaire l’ensemble des demandes. C’est pourquoi nous nous adressons à vous afin que vous ayez les éléments nécessaires à la bonne compréhension de la situation.

Dans ce cadre, le Conseil d’Administration s’est réuni le 12 décembre 2016, afin d’élaborer le budget primitif pour 2017 tel que prévu dans les textes avec obligation de présenter un budget équilibré avant le 31 décembre 2016.

Dans ces conditions, le groupe CGT qui trouve cette situation inacceptable a néanmoins, afin de rester dans la légalité, proposé une première démarche qui consiste à préserver la solidarité, les actions en direction de la jeunesse et à maintenir dans la mesure du possible, l’organisation des activités des Slvie, des Commissions, des activités sportives et culturelles.

  • Le groupe CFE-CGC, pour sa part a fait aussi une proposition de répartition
  • Le groupe CFDT n’a pas proposé de répartition, il a seulement envisagé de ponctionner dans les réserves
  • Le groupe FO étant absent-excusé

Concernant les réserves qui sont en fait des provisions, elles ont deux finalités incontournables :

  • Pour les investissements ou travaux imposés afin de maintenir en état de fonctionnement notre patrimoine afin de ne pas pénaliser les activités.
  • N’étant pas une entreprise ayant accès aux emprunts auprès des banques, une partie des provisions sert de tampon à notre gestion de trésorerie, notamment pour honorer le paiement des factures de nos fournisseurs.
  • De plus des provisions ne sont pas éternelles et ne peuvent donc cacher la réalité qu’est la baisse constante des dotations.

Seuls les groupes CGT et CFE-CGC ont trouvé une convergence permettant de proposer au vote du CA un budget primitif tenant compte de tous les éléments connus ce jour.

Vote : 15 pour (CGT et CFE-CGC) 3 contre (CFDT) 0 abstention

Une réunion aura lieu début janvier afin de concrétiser les budgets de chaque Slvie, Commissions,…et les applications budgétaires attenantes.

Pour la CGT, cette situation ne peut être que provisoire, aussi, nous appelons tous les bénéficiaires à se mobiliser pour obtenir des employeurs, leur retour à la table des négociations afin de reconsidérer le niveau de financement envisagé.

Rendez-vous en Janvier 2017
pour la défense de Nos Activités Sociales!!!

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Compte rendu Assemblée Générale
Mardi 6 décembre 2016

Une cinquantaine de gaziers et électriciens se sont rassemblés à la CMCAS pour assister à une assemblée générale au cours de laquelle Guy Chapelle, vice président de la CMCAS a rappelé les raisons de l’appel à l’action par la seule CGT ce mardi 6 décembre 2016.

Ensuite, Gilles Galland, Secrétaire Général du Syndicat Cgt Energie 43 est intervenu sur la situation tendue que vivent les salariés de Haute Loire et notamment les exploitants et techniciens dont les conditions de travail se dégradent à un tel point qu’elles mettent en danger leur santé et leur sécurité.

Quel avenir pour nos activités sociales ?

La baisse du 1 % au niveau national de 68 millions d’euros en 3 ans qui était connue jusqu’au début octobre 2016, à laquelle vient s’ajouter ces dernières semaines une nouvelle baisse de 17 millions d’euros aboutissent in fine à une diminution du fonds de 1 % au niveau national de 85 millions d’euros en 3 ans !!!

Cette situation se traduit sur le plan local au niveau de la CMCAS Clermont Le Puy par une baisse de la dotation du fonds du 1 % de plus de 55000 €. Déjà l’année dernière, il avait fallu prendre des mesures de gestion rigoureuses pour proposer un budget et répondre en même temps aux besoins des gaziers et électriciens en termes d’activités sociales et d’actions de prévention de santé. Les administrateurs Cgt avaient alors proposé de réduire la participation financière de la CMCAS tout en priorisant cependant le budget réservé à la jeunesse et celui relevant de la solidarité qui sont la base de nos valeurs. Ainsi, la participation de la CMCAS qui était jusqu’alors de 40 % pour nombre d’activités avait été réduite à 20 % pour l’exercice 2016.

Pour l’exercice 2017, la suppression de la participation du fonds du 1 % sur les activités proposées ne suffira pas à proposer un budget en équilibre et il faudra également réduire les participations réservées à la jeunesse et à la solidarité sauf à trouver d’autres recettes pour combler le manque à gagner en ouvrant davantage nos centres, en augmentant la location des salles ou en proposant de nouvelles conventions pour utiliser nos structures.

C’est pour cette raison que les négociations qui se sont ouvertes le 10 novembre 2016 pour trouver un autre mode de financement du fonds du 1 % doivent se poursuivre et aboutir à une issue positive qui permette de pérenniser les activités sociales de l’énergie. Si ce n’était pas le cas, c’est tout un système qui s’effondrerait. Le retour que nous avons, pour l’instant, de ces négociations nous fait penser que rien n’est perdu et que cela va dans le bon sens. En effet, les employeurs ont accepté de prendre comme point de départ les propositions effectuées par la Fnme Cgt portant sur une contribution au financement des activités sociales de TOUTES les entreprises du secteur de l’énergie. Bien sûr elles ne sont pas d’accord sur tout et beaucoup de points restent en suspens mais l’espoir existe et le rapport de force que nous saurons créer autour de ce dossier devrait faire bouger le curseur dans le bon sens si nous sommes suffisamment nombreux ou malheureusement dans le mauvais sens si les directions se rendaient compte que les salariés se désintéressent de ce problème.

Guy Chapelle a ensuite rappelé le positionnement des organisations syndicales sur se sont exprimées dans le journal des Activités Sociales de l’Energie N° 374 et qu’il n’est pas inintéressant de connaître. Pour bien mesurer l’enjeu que représente l’avenir de nos Activité Sociales, il a évoqué les retombées économiques qu’elles représentent tant au niveau national, régional que local.

  • Les CMCAS du territoire CCAS Auvergne-Limousin représentent au total 20613 bénéficiaires avec un impact économique de prés de 3400000 €.
    Pour la seule CMCAS Clermont-Le Puy, ce sont 8290 bénéficiaires pour un impact économique de 1540000 €.

  • Les Centres de Tourisme adultes du territoire Auvergne-Limousin ont accueilli, en 2015, 2000 bénéficiaires en Haute Loire au Monastier sur Gazeille, 3600 bénéficiaires dans le Cantal à Pleaux, 10100 bénéficiaires dans le Puy de Dôme à Super Besse.

  • En emplois, la CCAS sur le territoire Auvergne-Limousin représente au total 622 contrats de travail ( 113 CDI/178 CEE/331CDD).

  • En matière de missions générales relevant de l’action sanitaire et sociale qui pour les salariés du régime générales sont des missions assurées (quand elles le sont, et certainement pas avec les mêmes plafonds de ressources que les nôtres) , les CMCAS ont contribué pour un montant total de 574472 € ( 214532€ Clermont Le Puy / 69761 € Limoges / 71980 € Montluçon / 29571 € Moulins Vichy / 188628 € Tulle Aurillac).

  • En terme de « faire travailler des entreprises locales », expression chère au Président de la Région Auvergne Rhône Alpes Laurent Wauquiez, la CCAS territoire Auvergne Limousin a fait travailler 579 entreprises pour un montant total de 7129990 €.

Voilà le bilan sur lequel nous n’avons pas à rougir, bien au contraire et que si nous n’avions pas eu la dotation du fonds du 1 % nous n’aurions pas pu réaliser. Voici l’enjeu de notre action, voici ce pourquoi, nous luttons…

Cet après midi à 14 H 30, nous avons un rendez-vous à la préfecture et c’est ce bilan que nous allons présenter au préfet afin qu’il se rende compte de l’impact économique que représente notre action sur le département.

La délégation à la préfecture sera composée de Guy Chapelle, Aurélien Mingot, Yoann Bachelart et Auguste Chaurand.

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STOP à cette violence managériale.

Gilles Galland, Secrétaire du Syndicat CGT Energie 43 prenait ensuite la parole pour donner les dernières informations relatives à la situation que vivent notamment les exploitants et les techniciens intervenant sur le réseau.

Il rappelle que cette situation tendue ne date pas d’hier mais que c’est suite à la convocation à un entretien préalable avant conseil de discipline de 2 agents de Brioude Issoire ce jour même, le 6 décembre à la suite d’un accident dont une des causes retenue serait due à une consignation « non finalisée ». Sur la région, 3 agents de la BO de Vichy seront convoqués, le 16 décembre, dans une même procédure pour avoir été pris en photo dans une nacelle sans port du casque ! A cela, il faut ajouter un agent de GrDF qui s’est vu infliger une rétrogradation de 2 GF et une baisse de salaire de 4 NR pour un camion accidenté.

Aussi, la coup est pleine, le 1er Décembre, suite à la première convocation, les salariés dans un mouvement spontané à plus de 90 % des agents techniciens, exploitants se sont mis en grève pour soutenir leurs collègues incriminés, exiger qu’aucune sanction ne soit prise à leur encontre et voulaient montrer qu’ils en avaient assez de ce management qui confond « prévention » et « répression »

Lundi 5 décembre, le syndicat CGT Energie 43 avec les syndicats CGT du Puy de Dôme et de l’Allier, ont déposé un préavis de grève. Dans le même temps, les représentants CGT du CHSCT ont déposé un DGI « Danger Grave et Imminent » considérant qu’il existait une cause de danger grave et imminent au sens des articles L4131-2 et suivants du code du travail.

L’Assemblée Générale devait déterminer les conditions de la poursuite de ce mouvement. A ce que l’on en sait, cela a fait mouche car la Direction Enedis sur la région Auvergne était dans tous ses états.

Les salariés ne veulent pas mettre de l’huile sur le feu, la balle est maintenant dans le camp des Directions mais il n’accepteront pas que des collègues soient injustement sanctionnés alors qu’ils n’ont fait que réaliser leur travail dans des conditions qui relèvent de la seule responsabilité des employeurs et ils agiront en conséquence.

Au moment, où ces lignes sont écrites, la Direction nous a fait savoir qu’elle avait bien reçu le message et qu’elle allait donner des signes d’apaisements, le Directeur en personne de la région Auvergne s’est engagé à venir rencontrer les exploitants et techniciens sur Brioude, Le Puy, Yssingeaux et Langogne. Cela suffira t-il à faire retomber la pression ? Affaire à suivre…

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Mardi 6 décembre 2016
Ne nous laissons pas plumer !

Appel à 4 heures de grève entre 9 h et 16 H.
Assemblée Générale pour vous informer
10h Rassemblement à la CMCAS au PUY Rue d'Alençon

Agissons et mobilisons-nous pour une autre répartition des richesses. Notre salaire différé, c’est le 1%.

Il finance nos activités sociales et de santé.

Pour 2017 c’est une nouvelle baisse de 17 M€, soit moins 20 % en 3 ans ……

Notre salaire direct, c’est le Salaire National de Base (SNB), négocié chaque année lors des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO).

0 % de prévu pour 2017 !!!

Tract à télécharger en fichier pdf.

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Après plusieurs mois de discussion avec les employeurs et les pouvoirs publics, des négociations majeures pour le financement et l’avenir des activités sociales, se sont ouvertes le 10 novembre dernier à l’occasion de la Commission Paritaire de Branche (CPB).

Il s’agit dans un premier temps de définir un nouveau mode de financement pour les activités sociales de l’énergie.

La dérèglementation et les privatisations ont conduit à une déstructuration catastrophique du secteur de l’énergie depuis maintenant 20 ans.

Les entreprises historiques (EDF et GDF devenue Engie) ont éclaté, elles ont filialisé et externalisé beaucoup de leurs activités.

Sous les coups de butoir de Bruxelles accompagnés par les gouvernements successifs, de nouveaux opérateurs prennent des parts de marché en utilisant le dumping social pour faire baisser leurs coûts.

Ces nouveaux opérateurs ne sont pas des entreprises de la branche professionnelle des IEG et leurs salariés ne disposent pas du statut national.
En conséquence, ceux-ci ne contribuent pas au financement des activités sociales des salariés de l’énergie, ce qui explique en grande partie la baisse conséquente du financement de ces dernières années.

La FNME-CGT revendique que toutes les entreprises du secteur de l’énergie financent les activités sociales et de santé pour tous les salariés, elle a fait une proposition réaliste et solide en ce sens.

La FNME-CGT revendique également un montant de départ de 500 M€ pour pérenniser, développer et améliorer celles-ci.

Le 6 décembre 2016 va se tenir une nouvelle Commission Paritaire de Branche (CPB). Elle examinera le nouveau mode de financement de nos activités sociales.

Le 8 décembre, une nouvelle CPB se verra proposer la non-augmentation des salaires pour 2017, dans la continuité des années précédentes. L’inacceptable est atteint ….

Ce n’est pas aux salariés de payer l’addition pour des choix d’organisation du secteur et d’organisation d’entreprises dont ils ne sont pas responsables.

Pour nous faire entendre, la FNME-CGT vous propose

d’agir
le 6 décembre 2016

en vous mettant en grève, en interpellant les directions locales, les pouvoirs publics pour revendiquer un financement élargi, pérenne et durable de nos activités sociales et une réelle augmentation des salaires pour 2017

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RESULTATS DES ELECTIONS
DES INSTANCES DE REPRESENTATIVITE DU PERSONNEL
Novembre 2016

Un grand merci à toutes et tous pour votre confiance, nous invitons les salarié(e)s à venir rejoindre la CGT et l’UFICT CGT.

La CGT et l’UFICT CGT remercient, les électeurs et électrices, d’avoir participé au scrutin qui s’est déroulé dans nos entreprises. Votre taux de participation démontre votre intérêt à l'expression démocratique.
La majorité du personnel a décidé d'apporter une nouvelle fois sa confiance à la CGT en la plaçant en tète des Organisations Syndicales.

La CGT et l’UFICT CGT, confortées par ce vote mettra tout en œuvre, avec vous salarié.es pour porter ses stratégies économiques, industrielles et sociales, s'engagent à construire l'avenir avec vous en défendant vos intérêts, vos garanties collectives et individuelles.

Nous avons su rassembler et lutter, c’est cette démarche qui aboutira à d’autres conquêtes sociales.

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Tous ensembles le 6 Décembre 2016, journée d’action pour l’avenir de nos activités sociales.

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Le 18 octobre 8 heures de grève
Pesons sur les négos Activités Sociales
Portons nos revendications locales.

Point de vue CGT

L’évolution du secteur et la transformation des entreprises que la FNME-CGT a combattues et combat toujours, mettent à mal les équilibres trouvés au moment de la nationalisation.
Pour la FNME-CGT, ces négociations doivent assurer la pérennité et le développement de nos activités sociales pour répondre encore plus aux besoins des électriciens et gaziers, actifs et inactifs.

Les enjeux

Les prochaines semaines seront décisives pour l’avenir de nos activités sociales. Le 20 octobre se tiendra une commission paritaire de branche dans laquelle le sujet des Activités Sociales est à l’ordre du jour.

Les thèmes abordés lors de ces négos sont le fondement de nos activités sociales : les moyens bénévoles avec le souhait des directions de professionnaliser les correspondants de SLVie, un nouveau mode de calcul du financement du 1%, la reprise par les employeurs de la restauration méridienne avec un impact qui pourrait être désastreux pour les salariés de la restauration ...

A ce jour, seule la CGT porte des projets fiables et durables, mais les employeurs, aidés de quelques organisations syndicales réformistes, vont à l’encontre des valeurs que nous défendons et remettent directement en cause les acquis de la nationalisation des IEG de 1946. Les difficultés financières que connait la CCAS sont directement issues de l’éclatement du secteur de l’énergie français piloté par l’Europe, les gouvernements successifs et les patrons des entreprises du CAC 40.
Dans nos entreprises, depuis le début des années 2000, les réformes s’empilent depuis l’ouverture du capital d’EDF, la création de GDF-Suez, puis de Engie, la filialisation de la distribution et du transport...

Transport :

  • - L’ouverture du capital du GRT gaz
  • - L’ouverture du capital de RTE
  • - Des réorganisations néfastes pour les salariés qui
  • se succèdent

Production :

  • - L’arrêt du thermique à flamme avec la fermeture annoncée des centrales
  • La fermeture de certaines centrales nucléaires dont Fessenheim
  • - L’ouverture à la concurrence des concessions hydrauliques
  • - L’annonce de suppressions d’emplois dans les sites de production hydraulique


Branche commerce :

  • - L’annonce de la suppression de 4000 emplois
  • - La fermeture des boutiques
  • - La dégradation des conditions de travail sur les plateaux téléphoniques
  • A Engie, la suppression pure et dure de ces plateaux pour les délocaliser à l’étranger...

Distrib gaz :

  • - Augmentation des zones d’intervention qui pourrait mettre en danger les usagers
  • - L’annonce de prise de travail dans le camion via des outils informatiques sans passer par l’agence
  • - L’annonce d’Engie de sortir certains salariés des IEG avec à la clé, la perte du statut

Distrib Elec :

  • - La suppression des UCF qui génère des pertes d’emplois, une perte de proximité et une dégradation des relations avec les usagers
  • - Le regroupement de plusieurs agences de conduite réseaux qui aura forcément un impact sur l’emploi
  • - L’embauche de contrats précaires en lieu et place d’emplois statutaires




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Mardi 17 Mai et Jeudi 19 Mai 2016
Contre la loi travail, on est toujours là !

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Public et privé, jeunes et retraités, toutes et tous unis, toutes et tous concernés :

Flexibilité, précarité, licenciements, augmentation du temps de travail, remise en cause des 35h et des conventions collectives, dates de congés reportées au dernier moment, heures supplémentaires moins payées, missions de l inspection et de la médecine du travail affaiblies, indemnités prud'homales abaissées Voilà ce que le gouvernement et le MEDEF veulent nous imposer avec ce projet de loi.


Les paradis fiscaux pour la France d'en haut,
la régression sociale pour la France d'en bas : ça suffit !

Tout pour le patronat, Rien pour la jeunesse et le salariat :

  • On ne réduit pas le chômage en faisant travailler plus longtemps ceux qui travaillent déjà.
  • On ne créé pas d emploi en facilitant les licenciements.
  • On ne lutte pas contre la précarité en diminuant les protections et les droits.
  • Les accords d entreprise dérogatoires, c est la fin du code du travail et des conventions collectives.

Tous mobilisés pour gagner le retrait :

Depuis plus d'un mois, des millions de personnes se sont informées et mobilisées, par des pétitions, des rassemblements, des grèves et des manifestations.

Valls et El-Khomri ont peur.

La jeunesse et les salariés, avec le soutien des organisations syndicales, revendiquent le maintien et l amélioration du code du travail. Gattaz et le Medef ne feront pas leur loi !

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Responsive imageReportage en images sur Zoom 43

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Amplifier l'action du 28 avril pour défendre les garanties collectives, le droit du travail et faire tomber la loi El Khomri !!

La récente montée au créneau du MEDEF contre le projet de loi "visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs" dit "El Khomri" ne doit pas détourner les salariés de l’énergie du caractère néfaste, pour eux, de cette loi.

De droit commun ou au statut des IEG, si cette loi passe, tous les salariés seront concernés immédiatement ou à brève échéance.

Dans cette loi tout est fait pour remettre à plat les acquis et le droit des salariés conquis depuis plus de 80 ans.

    Comme si le droit des salariés était un frein à l’emploi... qui imaginerait "flexibiliser" le code de la route pour éviter les accidents mortels !
  • Remise en cause de la hiérarchie des normes qui permettrait à l’accord d’entreprise de supplanter les accords de branche ou nationaux,
  • Remise en cause du temps de travail global et des heures payées (astreintes,...),
  • Licenciements facilités suivant l’état de l’entreprise (quand on sait que dans les IEG la garantie de l’emploi est un usage et non un droit...)
  • CDI "flexible",
  • Indemnités de prud’homme plafonnées,...
Qui peut se croire protégé quand les fondements du droit du travail sont décapités au profit d’un patronat qui n’en n’a jamais assez !

Après avoir absorbé les milliards de déduction de la part de cotisations sociales versées au titre de l’employeur, le MEDEF veut la "peau" du droit du travail. Lorsque l’on sait qu’EDF et ENGIE sont adhérentes à l’Union Française de l’Electricité, elle-même membre du bureau du MEDEF...qui peut penser vivre à l’abri de son statut !

Donner des milliards au patronat, à part l’enrichir ... cela ne créera pas d’emploi !

Le droit des salariés n’est pas l’ennemi de l’emploi, c’est par la relance économique et la réduction du temps de travail que les emplois vont se créer.

Passer de 35h à 32h c’est 4,5 millions d’emplois supplémentaires. Augmenter les salaires et pensions, c’est donner du pouvoir d’achat aux salariés et retraités. Cela est bon pour relancer l’économie, bon pour l’emploi mais aussi pour les caisses de sécurité sociale et les caisses de retraites !

Nous, et les générations futures, méritons mieux qu’un monde où les hommes et les femmes seraient à nouveau à la merci d’un patronat toujours plus avide de profit.

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ACTION RTE CONTRE L’OUVERTURE DU CAPITAL, LE 3 MAI 2016

Les salariés de RTE ont répondu massivement à l'appel à la grève et à la reprise en main de l’outil de travail.

Près d'un salarié sur 2 était en grève (45%) et plusieurs centaines ont occupé des postes de transformation pour signifier leur opposition à l'ouverture du capital.

Cette privatisation rampante, voulue par l'actionnaire EDF pour financer ses projets financiers à haut risque (EPR Hinkley Point) et par la direction du RTE qui l'enrobera d'ici l'été dans son projet d'entreprise, va à l'encontre des missions de service public du gestionnaire de réseau.

Les salariés ont marqué leur attachement à RTE 100% public et 100% EDF. L'entreprise publique verticalement intégrée, de la production jusqu’à la commercialisation, intégrant les réseaux de transport et de distribution, reste l'optimum économique et social.

Les difficultés d'EDF sont le fruit de 15 ans de libéralisation du secteur électrique. Le gouvernement veut-il aller encore plus loin que les directives européennes sur la casse des monopoles publics et l'ouverture des marchés ?

L'arrivée d'actionnaires supplémentaires dans le capital de RTE aura comme conséquences la hausse du TURPE (prix du transport représentant actuellement 7 à 8 % de la facture) et l'exigence de plus de gains de productivité au détriment de la qualité du réseau et de l'emploi.

L'arrivée d'actionnaires supplémentaires dans le capital de RTE aura comme conséquences la hausse du TURPE (prix du transport représentant actuellement 7 à 8 % de la facture) et l'exigence de plus de gains de productivité au détriment de la qualité du réseau et de l'emploi.

Aux quatre coins de la France, des disjoncteurs ont été ouverts sur décision des assemblées générales de grévistes. Plusieurs liaisons en France et 3 liaisons internationales vers l'Espagne et l'Italie ont été coupées.

C'est un premier avertissement ! Si le gouvernement, EDF et RTE s’entêtent à poursuivre leur projet dangereux pour toute la filière électrique en France, la CGT appellera à nouveau les salariés à intervenir et à décider des actions à mener…



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Jeudi 28 Avril 2016
Projet El Khomri, ce n'est pas fini !

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Public et privé, jeunes et retraités, toutes et tous unis, toutes et tous concernés :

Flexibilité, précarité, licenciements, augmentation du temps de travail, remise en cause des 35h et des conventions collectives, dates de congés reportées au dernier moment, heures supplémentaires moins payées, missions de l inspection et de la médecine du travail affaiblies, indemnités prud'homales abaissées Voilà ce que le gouvernement et le MEDEF veulent nous imposer avec ce projet de loi.


Les paradis fiscaux pour la France d'en haut,
la régression sociale pour la France d'en bas : ça suffit !

Tout pour le patronat, Rien pour la jeunesse et le salariat :

  • On ne réduit pas le chômage en faisant travailler plus longtemps ceux qui travaillent déjà.
  • On ne créé pas d emploi en facilitant les licenciements.
  • On ne lutte pas contre la précarité en diminuant les protections et les droits.
  • Les accords d entreprise dérogatoires, c est la fin du code du travail et des conventions collectives.

Tous mobilisés pour gagner le retrait :

Depuis plus d'un mois, des millions de personnes se sont informées et mobilisées, par des pétitions, des rassemblements, des grèves et des manifestations.

Valls et El-Khomri ont peur.

La jeunesse et les salariés, avec le soutien des organisations syndicales, revendiquent le maintien et l amélioration du code du travail. Gattaz et le Medef ne feront pas leur loi !

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Responsive imageReportage en images sur Zoom 43

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Amplifier l'action du 28 avril pour défendre les garanties collectives, le droit du travail et faire tomber la loi El Khomri !!

La récente montée au créneau du MEDEF contre le projet de loi "visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs" dit "El Khomri" ne doit pas détourner les salariés de l’énergie du caractère néfaste, pour eux, de cette loi.

De droit commun ou au statut des IEG, si cette loi passe, tous les salariés seront concernés immédiatement ou à brève échéance.

Dans cette loi tout est fait pour remettre à plat les acquis et le droit des salariés conquis depuis plus de 80 ans.

    Comme si le droit des salariés était un frein à l’emploi... qui imaginerait "flexibiliser" le code de la route pour éviter les accidents mortels !
  • Remise en cause de la hiérarchie des normes qui permettrait à l’accord d’entreprise de supplanter les accords de branche ou nationaux,
  • Remise en cause du temps de travail global et des heures payées (astreintes,...),
  • Licenciements facilités suivant l’état de l’entreprise (quand on sait que dans les IEG la garantie de l’emploi est un usage et non un droit...)
  • CDI "flexible",
  • Indemnités de prud’homme plafonnées,...
Qui peut se croire protégé quand les fondements du droit du travail sont décapités au profit d’un patronat qui n’en n’a jamais assez !

Après avoir absorbé les milliards de déduction de la part de cotisations sociales versées au titre de l’employeur, le MEDEF veut la "peau" du droit du travail. Lorsque l’on sait qu’EDF et ENGIE sont adhérentes à l’Union Française de l’Electricité, elle-même membre du bureau du MEDEF...qui peut penser vivre à l’abri de son statut !

Donner des milliards au patronat, à part l’enrichir ... cela ne créera pas d’emploi !

Le droit des salariés n’est pas l’ennemi de l’emploi, c’est par la relance économique et la réduction du temps de travail que les emplois vont se créer.

Passer de 35h à 32h c’est 4,5 millions d’emplois supplémentaires. Augmenter les salaires et pensions, c’est donner du pouvoir d’achat aux salariés et retraités. Cela est bon pour relancer l’économie, bon pour l’emploi mais aussi pour les caisses de sécurité sociale et les caisses de retraites !

Nous, et les générations futures, méritons mieux qu’un monde où les hommes et les femmes seraient à nouveau à la merci d’un patronat toujours plus avide de profit.

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Samedi 9 Avril 2016
Maintenir la pression pour les faire reculer !

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Ce samedi 9 avril, à 10h30

Devant :
- la mairie de Brioude,
- la préfecture au Puy en Velay

il faut que nous soyons nombreux jeunes, salariés, retraités, privés d’emploi, du public et du privé, en famille pour accentuer le rapport de force.


Reportage en images sur Zoom 43
En cliquant sur le lien ci-aprés, vous pouvez demander vos identifiants si vous ne les avez pas encore..

Demander mes identifiants.

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Qui peut croire qu'en faisant travailler plus longtemps ceux qui travaillent déjà, on va réduire le chômage ?


Qui peut croire qu'en facilitant les licenciements, on va créer des emplois ?


Qui peut croire qu'en diminuant les protections et les droits on va lutter contre la précarité ?

Public, privé, jeunes, familles toutes et tous unis, toutes et tous concernés : Flexibilité, précarité, licenciements, augmentation du temps de travail, remise en cause des 35h et des conventions collectives, dates de congés reportées au dernier moment, heures supplémentaires moins payées, missions de l inspection et de la médecine du travail affaiblies, indemnités prud homales abaissées Voilà ce que le gouvernement et le Medef veulent nous imposer !

Eh bien c est NON ! La jeunesse crie partout « on vaut mieux que ça ! ». Avec elle et les salariés, les organisations syndicales revendiquent un code du travail sécurisant renforçant les conventions collectives et la hiérarchie des normes !

La mobilisation contre le projet de loi Valls - El Khomri est un immense succès ! Ce sont plus d 1 million de personnes qui ont manifesté dans les rues de toute la France le 31 mars !

C est un immense succès qui en appelle d autres pour assurer la victoire contre cette Loi, qui est l une des pires régressions sociales de notre pays. Cette mobilisation est à l image des 70 % de français qui veulent le retrait de ce projet de loi.

Alors que le débat parlementaire commence, dans l unité, les organisations syndicales et de jeunesse appellent à se mobiliser pour le retrait du projet de loi. Comme il y a 10 ans pour le CPE, menons la bataille jusqu à la victoire toutes et tous ensemble !

Gattaz et le Medef ne feront pas leur loi ! Si le gouvernement ne répond pas, les orga- nisations syndicales resteront déterminées à poursuivre et amplifier la mobilisation, y compris par des manifestations et grèves interprofessionnelles.
Nous appelons tous les salariés, avec ou sans emploi, jeunes ou retraités, du public et du privé à se mobiliser pour gagner !

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31 Mars 2016 - Retrait du projet de loi El Khomri.
Trés forte mobilisation, mais il va falloir élargir encore la contestation


Reportage en images
Pour voir ces photos, nous vous invitons à effectuer une demande d'identifiants.

Demander mes identifiants.

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Message du Secrétaire Général de la CGT Energie 43,
Gilles Galland à l'issue de la journée

Petite info de l'action du Puy. Assemblée Générale Ste Catherine, 40 personnes, pas de direction présente. Coupure de courant décidée en AG : A Ste Catherine et à la préfecture. Manifestations du Puy 5000 pers. Grillades assurées par les copains Tst et exploit.., super orga. Tout est rentré dans l'ordre à 15h30

Voici les chiffres définitifs pour la grève d’aujourd’hui : DR Auvergne 37.44% sur l’effectif total 44.58% sur l’effectif présent UCF Auvergne 38.97% sur l’effectif total 48.41% sur l’effectif présent UPC : 45 %

Manifestation au Puy en Velay - 31 mars 2016.

Retrait du projet de loi El Khomri.
Tous les salariés se mettent sur leur 31.

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Le 9 Mars, les salariés actifs s'opposent
au démantèlement du code du travail
Le 10 Mars les retraités exigent une revalorisation de leurs pensions.

Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, CFE/CGC et CFTC condamnent ce projet de loi et en exigent l’abandon. Les organisations syndicales de Haute Loire appellent unitairement à la riposte pour combattre ce projet de loi néfaste pour les salariés

"TOUS MOBILISES contre la casse du droit du travail" : LE 9 MARS 2016, RASSEMBLEMENT à 12 H 00 devant la Préfecture au Puy

C’est un premier rassemblement qui fait suite à la pétition contre la loi El Khomri qui compte déjà plus d’un million de signataires. L’attaque est globale et cohérente, aucun secteur n’est épargné. C’est notre modèle social qui est attaqué. Dérèglementer, enlever des droits aux salaries, privés d’emplois, retraités, jeunes, ne favorisent pas l’emploi ! La régression sociale ne se négocie pas. Ensemble imposons le progrès social.



Signez et faites signer la pétition en ligne







Le 9 Mars
Retrait du projet de loi
contre le code du travail.

  • Après l accord ANI de 2013, qui facilite les licenciements,
  • Après la loi Macron qui banalise le travail du dimanche et s'attaque aux Prud'hommes,
  • Après la loi Rebsamen qui réduit les droits des représentants du personnel dans les entreprises,
  • Après la réforme territoriale qui accentue la désertification, menace des milliers d'emplois publics et privés, met en concurrence les régions entre elles,
  • Après le pacte de responsabilité qui donne 50 milliards d'euros aux patrons, pris aux services publics, à la sécu, aux hôpitaux, aux retraités, aux fonctionnaires,
Le gouvernement vient de lancer une nouvelle attaque contre nos droits : la réforme du Code du Travail. Après avoir menacé du 49-3, le gouvernement espère étouffer le refus grandissant :de nos organisations syndicales, des organisations de jeunesse et de plus de 1 000 000 signataires. Le report ne change rien, le 1er Ministre ne parle d ailleurs que de corrections !

Ce projet que nous appelons El Khomri-Valls-Gattaz , exauce les demandes récurrentes du Medef, est inédit en matière d attaque contre le code du travail, contre les conquêtes sociales dans notre pays.

C est un bouleversement de la hiérarchie des normes et du principe de faveur : les accords d entreprise pourront déroger aux dispositions du Code du Travail et des Garanties Collectives à l avantage du patron.
  • Une entreprise peut faire un plan social sans avoir de difficulté économique.
  • Après un accord collectif, un salarié qui refuse un changement dans son contrat de travail peut être licencié.
  • La possibilité de baisser les salaires et changer le temps de travail.
  • La modulation du travail avec la possibilité de passer de 10 heures à 12 heures par jour et de 35 heures à 46 heures de travail par semaine.
  • Le fractionnement du repos quotidien des 11 heures.
  • Les heures supplémentaires sous payées (10 % au lieu de 25 %)
  • Le plafonnement des indemnités en cas de licenciement illégal

Nous subissons une politique d austérité organisée par l Europe, qui amène à des catastrophes partout où elle est mise en place, en Grèce, en Espagne.

La pauvreté et le chômage augmentent, les services publics se détériorent, les retraites et les pensions baissent. Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, CFE/CGC et CFTC condamnent ce projet de loi et en exigent l abandon.

Les organisations syndicales appellent unitairement à la riposte pour combattre ce projet de loi néfaste pour les salariés.

Le Mercredi 9 mars 2016 : Rassemblement à 12h00 devant la Préfecture au Puy Rassemblons-nous le 9 mars pour élargir la mobilisation et préparer la grève nationale interprofessionnelle du 31 mars 2016.






Jeudi 10 mars 2016 à 10h30. Dans le cadre de la journée nationale d'action des retraités sur leur pouvoir d'achat.
À l'appel de USR-CGT43, UCR-FO, CFE-CGC, SFR-FSU, UTR 43 CFDT.
Venez nombreux au rassemblement devant la Préfecture de la Haute-Loire LE-PUY-EN-VELAY





Nous sommes seize millions de retraités

Gouvernement et patronat s'en inquiètent. Ils prennent prétexte de ce progrès pour reculer l'âge donnant droit à la retraite, faisant mine d ignorer que si l on vit plus vieux, c est surtout parce que l'on travaille moins longtemps et moins durement. Il fut un temps où l'âge de la retraite était proche de la fin de vie. C'était avant le Front populaire, le Conseil national de la Résistance et les luttes sociales qui ont parcouru le XXe siècle. Il faudrait aujourd'hui renoncer à ces conquêtes et adhérer aux logiques de l'austérité.

Un bilan qui condamne l austérité

Mais l'austérité a-t-elle favorisé l'investissement dans l'économie du pays et résorbé le chômage ?
Amélioré les conditions de vie et de travail dans les villes et les campagnes ? Désendetté la France ?
Non. Après des années de privations au nom de la compétitivité, les fermetures d'entreprise se multiplient, le chômage augmente malgré les radiations, la pauvreté s'étend et atteint 14,2 % de la population, la dette de la France a doublé en 10 ans.
À l'inverse, et ceci explique cela, les profits des sociétés du CAC 40 ont fait un bond de 38 % au premier semestre 2015 alors que leur chiffre d'affaires n'augmente que de 3 %.
En 30 ans, le total des dividendes versés aux actionnaires a été multiplié par 20 quand la masse salariale ne l'était que par 4,5




Des revendications légitimes et utiles

C'est cette spirale qu il faut inverser. Défendre les revendications des retraités est non seulement indispensable pour eux-mêmes mais égalementpour redresser l économie et restaurer la confiance. Car les retraités contribuent au développement de la société comme consommateurs et au travers de multiples activités d'intérêt général et social indispensables. Cela va de la garde des petits enfants, à l'aide aux devoirs mais aussi de l engagement dans des associations, les syndicats, les conseils municipaux 4 millions de retraités sont des aidants.

Nous voulons vivre dignement une retraite méritée

Par notre travail, nous avons produit les richesses qui ont permis le développement de la nation et la solidarité entre générations.
À la retraite, nous accompagnons les nouvelles générations et favorisons le lien social. Au lieu de nous stigmatiser le gouvernement serait bien inspiré de nous écouter. Mais il nous écoutera si nous sommes nombreux à l'interpeller et à soutenir des revendications qu il est urgent de satisfaire.

Un pouvoir d achat en régression continue

Les réformes libérales menées depuis 1993 ont réduit notre pouvoir d'achat. Mais pour justifier de nouvelles atteintes à notre niveau de vie, la petite musique revient : « nous serions privilégiés ». Mauvais calcul car les dépenses auxquelles les retraités devraient renoncer contribuent au développement économique et social de la France.

Les ressources existent

  • Les exonérations de cotisations sociales ont représenté 20 milliards d euros en 2014.
  • La fraude fiscale prive chaque année le pays de 60 à 80 milliards d euros.
  • Une étude de la CNAV démontre que l'égalité salariale entre les femmes et les hommes apporterait 5 milliards de ressources supplémentaires par an au régime des retraites dès 2015 et permettrait également aux femmes d'avoir de meilleures pensions !



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Flash-back sur les journées des 17 et 18 février 2016.

Rencontre avec le Directeur Territorial dans le cadre des journées d’actions du 17 et 18 Février…

Localement le syndicat CGT Energie43 a été reçu en délégation par Denis CADON, Directeur territorial en tant que représentant des employeurs de la branche IEG sur le Grand Velay.

La délégation a exposé la situation des entreprises, l’historique des actions depuis l’automne dernier et les 4 thèmes suivant :

  •  Avenir Industriel des IEG.

  •  L’emploi statutaire.

  •  Revalorisation des salaires et pensions.

  •  Un point particulier en lien avec les salariés et les pensionnés sur les Activités Sociales et le Tarif Agent.
Sur les questions locales, la délégation CGT a évoqué le fait que quel que soit l’établissement ou l’entreprise, il existe un point commun : les agents se détachent du projet de leur entreprise et ont de moins en moins goût à leur travail.

Pour illustrer ses propos, la délégation CGT a évoqué la réunion au cours de laquelle la direction a présenté les perspectives 2016 de la DR Auvergne où aucun salarié n’est intervenu et n’a posé aucune question.

Le directeur s’est engagé à faire remonter aux directions nationales et régionales nos revendications et notre interpellation !!

Compte rendu de la RÉUNION TRIPARTITE 1% du MERCREDI 17 FÉVRIER 2016
Ensemble pour refuser la casse !

Avant que la DGEC ne fasse la présentation sur le financement des activités sociales, la FNME-CGT est intervenue sur plusieurs points.

D’abord pour se satisfaire de la tenue aujourd’hui de cette réunion tripartite mettant autour de la table les différentes parties concernées et en responsabilités sur le financement du 1% et l’avenir des activités sociales de la Branche IEG.

Il s’agit d’une première réponse aux mobilisations des électriciens et gaziers et au courrier interfédéral (CGT, CFDT, FO et CFE-CGC) du 5 novembre 2015 à Ségolène ROYAL suite à la notification du 1%.

La CGT avait également interpellé les Présidents d’EDF et d’ENGIE sur les difficultés financières qu’allaient rencontrer les organismes.

Depuis plus de 10 ans, la CGT réclame la transparence sur le calcul du 1% du fait de la réorganisation du secteur de l’énergie, des entreprises, de la déréglementation et de la mise en concurrence. Qui paie ? Comment est calculé dans chaque entreprise le 1% ? Nous réaffirmons donc cette exigence de transparence.

Comme nous l’avons indiqué dans nos écrits, notre objectif également aujourd’hui est d’obtenir un moratoire à la hauteur de 500M€. Cette exigence est une nécessité pour qu’une négociation sereine et constructive puisse s’engager sur les activités sociales. L’évolution du financement est aujourd’hui indispensable. Pour la CGT le moratoire n’est pas une finalité mais un moyen pour engager dans de bonnes conditions la négociation sur le financement notamment. Un premier signe politique pourrait être le montant de la dotation définitive 2015 qui sera versé vers mars/avril.

La mise en œuvre des orientations votées par le Conseil d’Administration de la CCAS est mise à mal du fait des baisses de dotations successives. Dans le contexte de déréglementation du secteur, on ne peut continuer à avoir de telles fluctuations du 1%.

Dans le cadre d’une ouverture de négociation nous sommes intervenus sur la méthode de travail.

Pour la CGT, il faut aujourd’hui nous mettre d’accord :
  • Sur une méthode de travail précise
  • Sur un calendrier des négociations qui devront s’ouvrir.


Nous souhaitons aussi la présence de l’Etat sur les questions qui pourraient nécessité des modifications réglementaires.

Suite à l’intervention de la FNME CGT, le ministère déroule la réunion en indiquant que les travaux devraient répondre aux questions soulevées…

Concernant la transparence, le ministère a présenté un diaporama montrant les évolutions des volumes et des prix de l’électricité et du gaz ces 10 dernières années. L’objectif était de démontrer pour la Tutelle que le 1% a suivi ces évolutions…

Nous sommes restés sur notre « faim ». Les éléments fournis ne nous permettent pas de « vérifier » le montant prévisionnel annoncé pour 2016. Le ministère nous a indiqué que des éléments chiffrés nous seront fournis ultérieurement.

Nous avons dénoncé fermement la situation créée par la libéralisation du secteur énergétique permettant l’arrivée de nouveaux opérateurs ne contribuant pas au financement des activités sociales.

Silence des employeurs sur cette question.

Le gouvernement n’entend pas revenir sur les textes existants qui permettent cette distorsion. Nous avons revendiqué avec force que toutes les entreprises du secteur, du producteur au commercialisateur financent les activités sociales des salariés du secteur de l’énergie. La FNME CGT réfléchit d’ailleurs à une proposition qui va dans ce sens !

Concernant notre demande de moratoire, les employeurs, UFE et UNEMIG, ont tour à tour répondu que la situation économique des entreprises ne leur permettait pas de revoir à la hausse leur contribution au financement. Ils ont également argué du fait que le montant de 500 M€ de 2013 a été un montant « exceptionnel » et que la moyenne de ces dernières années était plutôt de l’ordre de 450/470 M€.

Ils ont également évoqué des obstacles juridiques, le calcul du 1 % étant juridiquement très encadré selon leurs dires.

Nous avons de nouveau fortement insisté sur l’annonce attendue dans les prochaines semaines du montant définitif 2015. Nous avons indiqué qu’il serait inconcevable pour nous que celui-ci soit inférieur au prévisionnel, à savoir 478 M€.

Un définitif inférieur au prévisionnel mettrait en plus grande difficulté les organismes. De plus, cela serait un signe politique extrêmement négatif envoyé par les employeurs.

En effet, employeurs comme gouvernement ont affirmé être attachés à la pérennisation des activités sociales des IEG et à leur modèle.

Tous les participants conviennent que la baisse du 1% actuelle génère un problème structurel de financement que les organismes sociaux ne peuvent assumer.

Nous avons indiqué les contraintes financières fortes qui pèsent sur les organismes suite à l’annonce du prévisionnel de 2016 en baisse de 47 M€ par rapport à 2015.

Le gouvernement a déclaré qu’il serait très attentif à la situation financière des organismes pour les semaines et les mois à venir, notamment sur la situation de trésorerie en indiquant qu’il ne mettrait pas « en péril le régime des activités sociales ».

Les employeurs ont également concédé qu’un changement de mode de financement sera difficile et nécessitera des mesures transitoires qu’ils seront prêts à examiner.

Concernant l’ouverture de négociation, toutes les parties prenantes s’accordent à dire que le modèle de financement ne répond plus à la réalité du secteur d’aujourd’hui et qu’il y a urgence à agir.

Les employeurs se sont déclarés prêts à ouvrir des négociations sur le financement, les moyens bénévoles, le rattachement des personnels et la restauration méridienne. Nous nous y sommes également déclarés favorables.

Pour ne pas retomber dans le piège de 2012, d’une proposition unique des employeurs sans aucune prise en compte de l’avis des fédérations syndicales, nous avons demandé qu’une phase exploratoire technique intervienne avant les négociations. L’objectif est de définir le champ exact de la négociation et d’examiner les propositions formulées par les uns et les autres.

Nous avons exprimé notre refus d’aboutir à un accord global. Si tous les champs de négociations sont liés, seul un équilibre général acceptable par tous permettra d’aboutir.

EDF a proposé de faire appel à un « tiers facilitateur » pour mener à bien ces négociations. Le gouvernement a soutenu cette proposition.

Pour la FNME-CGT, ce « tiers facilitateur » n’a pas lieu d’être durant la phase exploratoire et a, de fait, réservé sa réponse pour la suite.

Nous avons également rappelé l’importance de la participation du Ministère à ces négociations, celles-ci devant conduire à des modifications statutaires (Art 25, en particulier). Ces évolutions sont de la responsabilité du législateur et nécessitent une prise de position claire du gouvernement en place.

En fin de séance, les employeurs ont proposé une interfédérale rapide (1ère quinzaine de mars) afin de définir et de préciser le champ de la négociation, la méthode et le calendrier.

Si une porte s’ouvre, la mobilisation des électriciens et gaziers sera plus que jamais nécessaire. L’avenir de nos activités sociales est conditionné par le rapport de force que nous saurons mettre en œuvre.

Nous ne sommes qu’au début du match… L’entrée en négociation nécessitera d’établir un rapport de force à la hauteur et durable.

La délégation de la FNME CGT était composée de : Virginie GENSEL-IMBRECHT, Claude POMMERY, Laurent HEREDIA et Hervé BEQUET

DANS TOUS LES METIERS,
MONTRONS NOTRE ATTACHEMENT AU SERVICE PUBLIC
ET NOTRE OPPOSITION A SON DEMANTELEMENT




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Aux salariés actifs et retraités de Grand Velay :
Avec l’ensemble des salarié(e)s des entreprises de la branche des Industries Electriques et Gazières.
Ensemble pour refuser la casse !

Jeudi 18 Février 2016, appel à minima 1h de grève.Malgré la période de vacances scolaires, les syndicats CGT Energie43 et UFICT CGT energie43 appellent tous les salariés à poursuivre l’action en vous mettant à minima une heure en grève pour défendre nos emplois, nos salaires, nos Activités Sociales et garantir l’avenir de notre statut. (Journée entière comprise dans le préavis déposé par la Fédération)

Une délégation de militants CGT sera reçue par le directeur territorial pour porter nos revendications.Nous vous tiendrons informés de cette rencontre, de la réunion Tripartite enfin programmée pour défendre nos Activités Sociales, ainsi que des suites à donner à nos Actions…

Jeudi 18 FEVRIER, DANS TOUS LES METIERS,
SOYONS EN GREVE POUR MONTRER NOTRE ATTACHEMENT AU SERVICE PUBLIC
ET NOTRE OPPOSITION A SON DEMANTELEMENT

Ci-dessous les différents appels à l'action du Jeudi 18 Février 2016.



Tract FNME CGT

17 et 18 février 2016, reprise en main publique de l'énergie.

Les luttes portent sur l’avenir industriel des industries électriques et gazières, sur le maintien et la défense de l’emploi statutaire, ainsi que sur les questions de rémunérations par une juste revalorisation des salaires et pensions.

Les revendications des salariés portent aussi sur le financement des activités sociales avec une demande de moratoire à hauteur de 500 millions d’euros, la transparence et l’ouverture d’une négociation sur le financement.

10 octobre, 4 et 24 novembre, 9 décembre, 21 janvier…

Un cumul de journée d’actions qui a créé une dynamique incontestable mesurée par la fébrilité des employeurs.

En témoignent les avancées sonnantes et trébuchantes dans certaines entreprises dans les négociations avancements au choix, notamment dans les filiales d’ENGIE et/ou à GrDF où la CGT réclame néanmoins que plus de salariés en bénéficient. En témoigne également la tenue de la réunion tripartite sur le financement des activités sociales le 17 février 2016 !

Il est indéniable que les directions des entreprises commencent sérieusement à trembler dans la crainte d’une mobilisation majeure des électriciens et gaziers, nous devons donc amplifier le mouvement !

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Tract Interfédéral CGT - CFDT - FO

Le jeudi 18 février 2016, mobilisation pour la défense des Industries Electriques et Gazières, du Service Public et de l'emploi statutaire.

Les Fédérations syndicales des IEG FCE-CFDT, FNME-CGT, FNEM FO se sont rencontrées le 4 février pour partager leurs analyses sur la situation que traversent actuellement les Industries Electriques et Gazières.

Réorganisations incessantes des groupes de l’énergie, remise en cause des modèles de groupes intégrés, suppressions de milliers d’emplois, limitations des investissements, menaces sur les garanties collectives et statutaires, rigueur salariale, externalisation d’activités hors du statut des IEG, sont des déclinaisons concrètes du contexte 2016 effectuées par les employeurs des IEG.
Par ailleurs, la part croissante de la commercialisation d’électricité et de gaz opérée par des entreprises refusant d’adhérer au statut des IEG est un problème toujours occulté par les pouvoirs publics.

A travers cet échange il ressort une nouvelle fois la nécessité de ne pas rester sans agir, sans proposer une mobilisation aux électriciens et gaziers notamment face aux projets concernant :
•La filière de production Thermique avec en point d’orgue l’ordre du jour du prochain CCE d’EDF-SA qui prévoit la fermeture de centrales au fuel en 2017 et 2018, 2020 pour le charbon, alors que le thermique tient une place importante dans le mix électrique, notamment pour le passage de la pointe.

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Communiqué intersyndical à EDF SA de
CGT - CFDT - FO - CGC

Mouvement national intersyndical du jeudi 18 février 2016 à EDF SA
Pour la pérennité d’EDF, du Service Public et des emplois

De nombreux salariés de tous les métiers ont participé aux journées de mobilisation des 9 décembre 2015 et 21 janvier 2016 pour dire Non au démantèlement d’EDF !

Le 21 janvier, la Direction a présenté au Comité central d’entreprise les orientations stratégiques de l’entreprise pour 2016-2018 et leurs conséquences sur l’emploi. Bilan : la Direction n’a pas affiché de véritable stratégie claire, pragmatique et réaliste pour EDF. Seule volonté affichée pour accompagner une soi-disante stratégie : un plan de réduction massive des emplois - jusqu’à - 4200 postes - pour les années à venir, dans l’ensemble des métiers.

Après les attaques contre l’hydraulique, le nucléaire, les conséquences sur la Direction Commerce de la fin des tarifs vert et jaune, le plan d’économie visant principalement les fonctions tertiaires et supports, la Direction d’EDF va présenter au Comité central d’entreprise le 18 février prochain un projet de fermeture anticipée de centrales au fuel (Porcheville, Cordemais) en 2017 et 2018, et de centrales au charbon. Rappelons que les centrales thermiques tiennent toute leur place dans le mix énergétique, en particulier pour le passage des pointes de consommation.

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Vœux de la Direction eRDF Auvergne pour des perspectives 2016 exaltantes !
Une communication à sens unique !



Et bien tant pis !!!

La direction eRDF de la région Auvergne avait invité un panel d’agents pour leur présenter les perspectives 2016.

Les Syndicats n’étaient pas conviés à cette présentation. Néanmoins, des responsables syndicaux étaient invités en tant qu’agents à y participer.

Parce que nous sommes agents mais aussi parce que nous sommes des élus auxquels vous avez confié des responsabilités pour vous représenter dans les différents organismes, nous souhaitions intervenir, au nom de la CGT pour évoquer des questions d’actualités qui engagent notre avenir et qui impactent les perspectives 2016.

Avant la réunion, nous avons informé la Direction de cette initiative en lui demandant l’autorisation d’exprimer le point de vue de l’organisation syndicale majoritaire. Nous avons essuyé un refus !

Chacun en tirera ses propres conclusions. D’autant que les agents présents n’ont même pas eu droit à des strapontins et ont du se contenter d’assister à ce spectacle debout...

Pour ce qui nous concerne, nous avons décidé de porter à votre connaissance l’intervention que nous avions l’intention de présenter…

Intervention CGT (empéchée) lors de la réunion perspectives 2016
ErDF en Auvergne.

La direction nous a invités en tant qu’agent à participer à cette réunion. Nous souhaitons intervenir car, en tant qu’agent ErdF GrdF, le personnel nous a confié, au travers de la CGT, des responsabilités syndicales pour les défendre et les représenter.

Sans vouloir troubler la manifestation organisée par la Direction ErdF en Auvergne à l’occasion de la présentation des perspectives 2016 en Haute Loire, nous souhaitons rappeler quelques éléments d’appréciation de notre point de vue.

Le 24 novembre, le 9 décembre 2015 et le 21 janvier dernier les salariés d’ERDF et GRDF se sont fortement mobilisés, avec des actions significatives et la volonté de les amplifier si leurs revendications ne sont pas prises en compte.

Les agents eRDF GrDF de Grand Velay et de la région Auvergne y ont pris toute leur part. Sans que cela soit exhaustif rappelons nos principales revendications :

 le refus de la baisse du 1% pour la sauvegarde nos activités sociales.

 le refus de la perte du pouvoir d’achat et obtenir de meilleurs salaires, des classements en adéquation avec les compétences et l’expérience, de meilleurs conditions de travail…..

 combattre la déstructuration de nos entreprises pour gagner un service de proximité.

 combattre la remise en cause de notre statut.

Partout dans le pays, nous constatons une réelle prise de conscience des Agents, de la nécessité de poursuivre cette mobilisation qui reste d’actualité.








Nous souhaitons rappeler :

 que la mise en œuvre des projets « Transformation » d’ERDF et GRDF ne se passe pas bien, parce que de nombreuses Directions locales refusent d’appliquer les politiques et accords nationaux pleinement et correctement,

 alors que les principales entreprises de la branche ont décidé d’octroyer plusieurs milliards d’euros de dividendes aux actionnaires, les employeurs ont décidé une revalorisation de 0,2 % des salaires relevant d’une réelle provocation.

 Cette provocation est confirmée, si besoin était, par l’attribution des mêmes taux inacceptables d’avancement que l’année dernière !!! .

De multiples dossiers, à tous les niveaux, vont impacter fortement les deux distributeurs :

 Non-respect des mesures salariales à GrDF liées au dossier transformation !!

 Menaces de filialisation «hors statut» toujours d’actualité sur certaines activités des USR et dans les SI. Pour la CGT, ERDF et GRDF doivent garder dans le Service Commun toutes les activités Tertiaires et nous refusons y compris toute fermeture de site de travail !

C’est pour toutes ces raisons que nous appelons et appellerons les agents de Haute Loire et de la région Auvergne à amplifier le mouvement engagé les 24 novembre, 9 décembre 2015 et 21 janvier dernier, pour exiger :

 Un coup d’arrêt des politiques d’austérité.

 Garantir le financement de nos activités sociales.

 Obtenir gain de cause sur nos revendications, qu’elles soient nationales ou locales.

 Exiger un autre mode de management, garant du respect des engagements nationaux partout dans les unités.

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Reportage : Action du 21 Janvier 2016

Encore une action très suivie dans la Production, le Transport, le Commerce et la Distribution. Après les fortes mobilisations en 2015 : les 25 juin, 8 Octobre, 4 et 24 novembre et le 9 décembre dans nos industries Electriques et Gazières...

En ce début d’année le 21 janvier, à l’appel de la CGT, 700 agents se sont rassemblés : 400 agents sur Limoges et 300 agents dans l’Allier ; Le rendez vous était donné au poste RTE d’interconnexion 400 000 Volts de Bayet...Pour dire : “NON à la CASSE de nos entreprises“

Taux de grévistes en Auvergne UCF : 52.44% GMH EIM Brives : 75% GEH Loire Ardeche : 72.55% EDF Commerce CRC St Etienne Monistrol: 22.64% RTE GMR : 55%

L’Action continue : Défendons Notre 1% son financement, nos EMPLOIS, notre STATUT....!

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Jeudi 21 Janvier 2016 - J'agis pour préserver mon emploi, mon pouvoir d'achat, mon salaire, mon statut, ma pension, mes activités sociales.

Ne pas entrer dans l'action c'est accepter les reculs que veulent nous imposer directions, patronat et gouvernants.

A nous de décider et de choisir ce que nous voulons !

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Pour vous inscrire à cette initiative c'est trés simple, renseigner les champs ci-dessous et cliquez sur le bouton Valider et Envoyer. Et voilà, vous en avez pour 30 secondes !!!

Veuillez indiquer le choix de votre lieu de départ en cliquant sur l'un des deux boutons :



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VŒUX POUR 2016 : PRENONS EN MAIN NOTRE AVENIR LE 21 JANVIER MOBILISONS NOUS, ET APRES…

Au moment de se souhaiter une bonne année 2016, après une année 2015 intense… “Attentats terroristes, état d’urgence et lois de limitations des libertés individuelles, lois antisociales, réorganisations des entreprises de l’énergie dans un contexte de transition énergétique et de dérèglementation, salaires en bernes, baisse de la dotation du 1% de nos activités sociales“ … L’ heure est toujours à la mobilisation des électriciens et gaziers !

Ce contexte, que les employeurs, le MEDEF et le gouvernement voulaient voir perdurer pour limiter la capacité des salariés à progresser socialement, a débouché sur une mobilisation d’ampleur sur l’année 2015.

A regarder dans le rétroviseur, sous langle des luttes sociales que nous avons menées, les électriciens et gaziers sont loin d’avoir à rougir.

29 Janvier 2015, une manifestation nationale à Paris rassemble plus de 15.000 électriciens et gaziers pour s’opposer au projet de transition “électrique“… Ils rejoignent les 13.000 cheminots qui se battent pour le service public du rail.

Il s’agit là d’une journée d’action à très forte mobilisation où seule la Cgt appelait, répondant ainsi à l’inquiétude grandissante des salariés !

Il s’en est suivi la volonté de continuer la mobilisation des salariés autour du triptyque : Avenir industriel, emplois statutaires et salaire direct et différé (1% des activités sociales).

25 Juin, 8 octobre, 4 et 24 Novembre et 9 Décembre 2015…

5 grandes journées d’actions où la mobilisation n’a cessé de croître, où la prise de conscience et la nécessité de faire entendre nos revendications se sont accrues et où les autres organisations syndicales ont rejoint les mobilisations des salariés.

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